Dans la conséquente proportion d’agissements se résolvant au travers d’ actes agis [1], vous n’aurez point manqué de relever que l’astatisme inhérent à la Loi des Echanges [2] disposait des états dits « addictionnels » [3] au gré de l’incontrôlabilité des flux [4].
Vous aurez ainsi constaté - et constaterez encore davantage - que cette vectorisation [5] engendrée de la sorte par les ambiants est en train de se traduire pour l’ensemble des divers spécifismes par l’exposition de « comportements obnubilatoires », lesquels, de par l’accélération du spiralisme existentialisateur, se « périphérisent » au point d’en devenir des « phénomènes de groupe(s) », même si cette pseudo-contamination (effet de l’influence mimétique) ne se concrétise pas obligatoirement sous forme d’un actionnel collectivisé.
Nous prîmes déjà soin de nous attarder sur ces « exacerbations comportementales », mais tenons à ce que vous ne perdiez pas de vue que la chose appartient initialement à l’Alternance Osmotique et, désuperpositionnellement, à l’osmose attractive qui en découle [6], à seule fin de « moduler » les effets de la pression qui, au perçu de l’ambiant actuel, altérerait le compensatoire existentiel [7] et par ce, le transmis des supports offerts aux effets du mouvement pressionnel.
En subséquence, il se confirme ainsi qu’en marge de toute interprétation se voulant « moralisatrice », l’addictionnalisme revêt une portée d’ordre constitutif dans le positionnement de l’astatisme préénoncé [8].
Vous trouvant au fait de l’importance qu’il sied d’accorder - par ailleurs - à toute valeur de remplacement, vous serez à même de conclure qu’un état dit « addictionnel » n’abdique qu’à l’advenance d’un autre « état addictionnel ».
La relation avec une ancienne énonciation rasmunssenienne se recommande en la circonstance puisqu’elle mentionnait à l’époque au sujet de l’habitude que celle-ci ne cédait le pas qu’à une autre habitude [9].